Vie Espace-Temps®

Applications Dr. Ohlmann depuis 1995

Argiles modifiées grâce à une induction matricielle obtenue par un pliage de « l’espace des phases » et informées par voie quantique.
Ces informations sont transférées à la silice par le biais “ d’attracteurs étranges ”


Les Domaines d’applications :

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  • Un temps de contact très faible suffit
  • Dynamisation et meilleure efficience vibratoire
  • Tout ce qui contient de l’eau : (Aliments, médicaments , anesthésiques , vin.. Plantes ) : selon effets Kirlian
  • Optimisation des arômes du vin et des jus de fruits sortant du frigo par simple contact avec le contenant .
  • Traitement des points d’accupuncture qui sont constitués de vortex d’eau .
  • Traitements des cicatrices qui sont des champs perturbateurs.
  • Protection des Champs Electro-magnétiques et des Réseaux Géopathogènes : Interface entre un champ perturbateur et la Biologie .
  • Protection des courants électriques dans la maison



L’attracteur étrange vit dans l’espace des phases, l’une des inventions les plus fécondes de la science moderne. L’espace des phases permet de transformer des nombres en images, de dégager l’essentiel de l’information d’un système – mécanique ou fluide – en mouvement, et de dresser la carte routière de toutes ses possibilités. Les physiciens connaissaient déjà deux types d’«attracteurs » élémentaires, les points fixes et les cycles limites, qui représentaient un mouvement atteignant un état stationnaire ou se reproduisant continuellement.

Dans l’espace des phases, la connaissance complète d’un système dynamique à un instant donné se réduit à un point. Ce point est le système dynamique – à cet instant. A l’instant suivant, le système évoluant, ne serait-ce que légèrement, ce point se déplace. On peut alors représenter l’histoire du système par ce point en mouvement, décrivant au cours du temps une « orbite » dans l’espace des phases.

Comment un seul point peut-il contenir toute l’information sur un système compliqué ? Si ce système ne possède que deux variables, la réponse est simple. Elle découle immédiatement de la géométrie cartésienne enseignée au lycée – on porte une variable sur l’axe horizontal, l’autre sur l’axe vertical. Si le système correspond au balancement sans frottement d’un pendule, ces deux variables sont la position et la vitesse ; leur variation continue dessine une boucle fermée que le point représentatif parcourt indéfiniment. Si le système possède une énergie plus élevée – un balancement plus rapide et plus ample -, on obtient une boucle analogue à la première, mais plus grande.

L’introduction d’un peu de réalisme – du frottement – modifie la figure. Les équations de mouvements ne sont pas indispensables pour connaître le destin d’un pendule soumis au frottement : toute orbite se doit d’aboutir au même endroit, l’origine des axes : position zéro, vitesse zéro. Ce point fixe central « attire » les orbites, qui, au lieu de décrire éternellement des boucles fermées, convergent suivant des spirales. La dissipation d’énergie due au frottement se traduit par une attraction vers le centre de l’espace des phases, des régions externes à haute énergie vers les régions internes d’énergie plus faible. Cet attracteur – le plus simple de tous – agit comme une tête d’épingle aimantée enfoncée dans une feuille élastique.

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